Pour le passage à l’année 2025, plusieurs quartiers nantais ont été le théâtre de feux d’artifice improvisés. Bellevue, Clos Toreau, Malakoff et Joncourt ont vu leur ciel s’illuminer de mille couleurs grâce à des initiatives spontanées… mais illégales. Ces spectacles pyrotechniques, organisés par des particuliers, ont surpris de nombreux habitants, malgré leur interdiction.
Une pratique festive mais interdite
En France, l’usage de feux d’artifice par des particuliers est strictement encadré et, dans de nombreux cas, interdit sans autorisation. Pourtant, chaque année, les nuits du Nouvel An sont marquées par ces explosions lumineuses, réalisées en dehors de tout cadre légal. À Bellevue, par exemple, les tirs ont débuté dès la tombée de la nuit, attirant de nombreux curieux malgré les risques associés.
Une tendance qui s’étend dans les quartiers
Au Clos Toreau, Malakoff et Joncourt, des scènes similaires ont été observées. Des feux d’artifice lancés depuis des espaces privés ou publics ont illuminé le ciel, offrant un spectacle aussi impressionnant qu’imprévu. Si ces initiatives traduisent une volonté de célébrer la nouvelle année de manière spectaculaire, elles n’en restent pas moins illégales et potentiellement dangereuses.
Quels risques pour les particuliers ?
Le tir de feux d’artifice sans autorisation comporte plusieurs dangers : risques d’accidents, incendies ou nuisances sonores. De plus, les contrevenants s’exposent à des sanctions, allant de simples amendes à des poursuites pénales.
Ces événements mettent en lumière un phénomène récurrent chaque année. Si la magie des feux d’artifice séduit, leur usage hors cadre soulève des questions sur la sécurité et la réglementation. Un rappel nécessaire pour démarrer 2025 en toute prudence.